Infirmières du centre de rééducation fonctionnelle C'est dans mon hôpital, ou plutôt un centre de rééducation fonctionnelle, que je me trouve en ce moment et les infirmières, faisant après tout leur devoir, tentent de me sucrer mon médicament favori c'est-à dire le seul qui apaise la douleur de ma jambe.

Le truc est que j'ai encore vraiment mal quelques mois aprés mon opération (prothèse du genou) et en rééducation ce qui veut dire que ce n'est physiquement pas facile tous les jours (douleurs quasi permanentes), et les infirmières qui distribuent les traitements ont pour mission de réduire les doses dés que possible même si le patient se plaint gentiment ou pas. sealed

Dans un premier temps, je ne vais rien leur dire parce que j'en ai assez de leur expliquer que c'était trop tôt mais elles ne veulent rien entendre. Je vais devoir frapper peut-être en déclarant... 

La grève des Dolipranes

Dimanche 5 mars 2023

Ce matin, distribution habituelle du traitement et il manque "encore" le principal anti-douleur nommé Acupan mais je remarque qu'elles (les infirmières) me laissent le Doliprane et mon raisonnement est le suivant.

Si elles me suppriment l'Acupan, c'est qu'elles pensent que je n'en ai plus besoin donc que je n'ai plus de douleurs.

Alors, pourquoi le Doliprane ?

D'accord, elles font leur boulot qui vise entre-autres à sevrer les patients de leur traitement qui peut il est vrai s'avérer nocif dans la continuité mais pour ce cas-là, il n'y a pas mort d'homme. Ce que j'avale depuis quatre mois n'est pas dangeureux et ne présente pas de risques d'accoutumance.*

En rééducation, j'ai cru comprendre que les trois pôles Patient/Kiné/Médical allaient ensemble et recherchaient, toujours ensemble la guérison. Là, on voit qu'il y a un coup de canif dans le contrat.

J'ai à plusieurs reprises expliqué aux infirmières que ce sevrage était prématuré de part la souffrance et les nuits de sommeil gâchées  mais elles ne veulent rien entendre. Alors, puisque l'Acupan serait inutile, le Doliprane aussi et je déclare cesser d'avaler ces cachets puisque je n'en aurais pas besoin.

Accoutumance*

S'il est vrai que la prise dans la continuité que certanes prescriptions ne peuvent pas ignorer, tout est une question d'information et de doigté.

Par exemple, il y a quelque temps, un médecin m'a prescrit de Tramadol pour mes souleurs au genou m'avertissant des effets secondaires et, quand j'ai lu la notice, la décision a été vite prise. Quinze jours et pas plus.

Avec l'Actipan, c'est pareil.

Tu te soigne avec quand t'a mal et n'en abuse pas à moins que tu ne soit suicidaire.

En plusieurs mois de prise des ce mécicament entre opérations et rééducations, j'ai appris à gérer et le médecin qui voudrait me gaver à long terme de Paracétamol et de ses dangers maintenant bien connus commet un exés de zèle et ne rends pas service à son patient car il sait mieux que quiconque que ce gere de douleurs ne peut être traité avec du petit lait.

Pour ce qui concerne ce petit article écrit dans un moment de colère aprés plusieurs nuits de douleurs et d'insomnies, je l'ai fait lire au corps médical du centre de rééducation fonctionnelle où j'étais soigné et le lendemain tout est rentré dans l'ordre.

Comme quoi, attention, les médecins peuvent faire des erreurs et quelques-uns d'entreux savent les reconnaitre. 

C'est comment dans ta clinique ? ;)

 

 

 

 

 

 

 

 

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